vendredi 5 décembre 2025

Promotion de fin d'année

 

Chers lecteurs,

 J’ai pensé que pour les fêtes qui s’approchent, certains aimeraient communiquer à leurs enfants la liste des  livres qu’ils voudraient recevoir en cadeau ( c’est ce que je fais chaque année avec les miens) et c’est pourquoi  je vous adresse l’offre promotionnelle ci-après pour l’achat de mes 3 derniers livres.

Offre promotionnelle de fin d’année, de 25 à 40% de rabais, plus la livraison gratuite.

A 15€ frais de port inclus

« Chroniques d’une décennie  2014-2024 » recueil de 513 pages regroupant 155 articles de mon Blog répartis en 28 thèmes  complétés par les noms et certaines de leurs œuvres de 194 personnalités, écrivains, philosophes, scientifiques, responsables politiques auxquels je me réfère souvent.                                                                                                                          Prix public 25 €

« Une vie au service de l’hospitalisation privée »   Le récit d’un demi-siècle  de conseil aux cliniques et hôpitaux privés de France.

Prix public 22 €

« Il était une fois à Saint-Galmier…la Charpinière »  Le récit de la reprise et du développement  pendant 25 ans d’un hôtel restaurant***.                                

Prix public 20 €

Vous pouvez passer votre dès maintenant votre  commande en m’écrivant à : pmazenod@wanadoo.fr

 

 

lundi 1 décembre 2025

La décence en politique

 

Par comparaison avec la décence des gens ordinaires dont parle Georges Orwell dans ses deux célèbres ouvrages au sujet notamment  de l’establishment politique anglais dont il était lui-même issu , La Ferme des animaux et 1984,* et dont j’aurais certainement l’occasion de reparler, certains responsables politiques en manquent parfois cruellement alors qu’ils devraient être, au contraire, des exemples pour leurs concitoyens.

Je tiens tout d’abord à rappeler la définition de la décence par ce que le terme est trop souvent mal utilisé, par exemple, pour dire que quelqu’un est riche et je cite une nouvelle fois la phrase d’Albert Camus “Mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde 

 L’indécence est ce qui touche aux bonnes mœurs, aux convenances. Qui incite à la discrétion et la retenue dans les relations humaines.

Je ne citerai pas de noms pour éviter de leur faire de la publicité encore qu’il est difficile au lecteur de ne pas reconnaitre le premier et je ne ferai pas non plus de classement. 

-Un chef d’Etat étranger condamné par la justice de son pays qui malgré des comportements délictueux continue à fanfaronner.

-Le maire d’une grande ville de France qui pratiquait ce qu’on appelle aujourd’hui le « Kompromat » inventé en Union soviétique et poursuivi par l’ancien agent du KGB aujourd’hui à la tête de son pays et qui consiste à tout faire pour compromettre ses adversaires politiques. L’utilisation des « escorts girls » et « escorts boys » étant leurs outils préférés.  Ce maire qui ne démissionne pas, prétextant qu’il n’était pas au courant, et attendant que la justice l’oblige à le faire ou que ses électeurs le désavouent s’il ose se représenter aux prochaines élections.

-Un ancien premier ministre qui faisait rémunérer son épouse aux frais de la Collectivité et condamné par la justice se permet de dire qu’il a été mal jugé.

-Un député, ancien Président de Région, qui  dépense l’argent de son administration en repas fastueux  pour entretenir sa clientèle et fait subventionner  une ligne aérienne largement déficitaire pour pouvoir se rendre aisément à Paris.

-Un ancien ministre dont un des fils a accusé son frère de viol et continue à parader notamment sur une chaîne privée de télévision.

-Les communistes français qui n’ont même pas changé de noms pour faire oublier les crimes de Staline et ceux d’autres dirigeants communistes comme l’ont fait d’autres partis européens ou qui, comme en Italie, ont disparu.

-Des farouches adversaires du Général De Gaulle qui osent aujourd’hui se réclamer de lui.

-Une candidate à la plus haute fonction condamnée pour escroquerie en bande organisée après qu’elle ait accusé, haut et fort, la justice de son pays de laxisme.

Bien entendu cette liste est loin d’être exhaustive.

Ces hommes et femmes politiques agissent sans éprouver le moindre regret ni le moindre remords. S’ils se comportaient comme des personnes ordinaires, comme des gens simples, ils commenceraient à s’excuser en avançant des motifs qui les ont poussés à agir ou ne pas agir ainsi. Dans certains cas, ils préfèreraient se faire totalement oublier. Moi qui suis l’heureux père de plusieurs fils, je m’imagine un instant me retrouver dans la situation de ce responsable politique que j’ai cité. J’aurais tellement honte que je me cacherais.

Dans mon Blog du 3 juillet 2020** je relève les déclarations d’hommes et femmes politiques pendant la crise sanitaire au sujet du déconfinement, des gestes barrières, de l’usage de la Chloroquine, de la deuxième vague et des dirigeants actuels du pays. Ils ont pu se tromper en toute bonne foi et s’excuser pour cela, ce qui les aurait grandis à mes yeux, mais ils ne l’ont pas fait. Un dirigeant de la droite aux ambitions présidentielles s’est distingué dans ses affirmations que j’ai démontréqu’elles étaient fausses.

De la responsabilité de ceux qui les élisent, de ceux qui les soutiennent, c’est-à-dire leurs militants et des médias et de leurs auditeurs.

Ceux qui les élisent

Nous, simples citoyens, comment peut-on agir et nous faire entendre ? Bien entendu, en ne votant pas pour eux, mais ce n’est pas toujours chose facile quand leurs concurrents qui briguent la place défendent une politique que nous ne pouvons pas cautionner. Au premier tour,  nous choisissons et nous pouvons voter pour le candidat irréprochable  qui défend nos idées, mais au deuxième tour quand ils ne sont plus que deux, le plus souvent, nous devons en éliminer un, à moins de nous abstenir de voter. Cette situation délicate nous  pouvons la retrouver dans les entreprises. Est-il préférable, par exemple, d’avoir un chef des achats efficace, c’est-à-dire se procurant de bons produits à de bons prix, mais se faisant rémunérer par des fournisseurs ou un chef des achats honnête mais moins efficace ? J’ai eu à résoudre  ce dilemme avec un des chefs de cuisine de l’ hôtel restaurant dont je parle dans “Il était une fois à Saint-Galmier…la Charpinière“*** Nous nous en sommes séparés avec regret car c’était un bon chef. 

Les militants

Un responsable politique a besoin d’avoir des militants qui le  soutiennent et votent pour lui dans les élections internes de son Parti.

Dans son choix de son candidat à sa direction ou pouvant être appelé à de plus hautes fonctions, il doit, si possible, en tenir compte.

Les médias et réseaux sociaux et leurs auditeurs et les lecteurs

Ces responsables politiques indécents sont parfois, hélas, de bons clients pour les médias qui recherchent à tout prix le buzz. J’en parle notamment dans des articles regroupés sous le titre Être modéré en France et à l’étranger**** où j’explique que les responsables politiques modérés sont moins invités dans les stations ou sur les chaines parce qu’ils sont trop nuancés.

Le citoyen  ordinaire est un électeur qui, nous l’avons vu, peut agir par son vote, mais aussi un auditeur et téléspectateur qui peut boycotter un média ou un réseau social faisant directement ou indirectement la promotion de responsables politiques indécents.  

pmazenod@wanadoo.fr

*Je me réfère au livre de Bruce Begout «  De la décence ordinaire » aux éditions Allia      

**Chroniques d’une décennie pages 359 à 367

*** Aux éditions Ifrhos  editionsifrhos@orange.fr

****Chroniques d’une décennie pages 311 à 322

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mardi 18 novembre 2025

Les personnes célèbres que j'ai rencontrées ou failli rencontrer suite

 Antoine Pinay

J’ai failli le rencontrer, mais le jour où j’avais prévu de le voir quand  il est venu à la Charpinière, accompagné de sa sœur qui ne le quittait pas,  je n’avais pas pu, au dernier moment, me libérer. J’aurais pourtant aimé échanger avec lui dont on m’avait rapporté que, parlant de mon livre La Loire en Péril*, il aurait dit :  “C’est Mazenod qui a raison“ d’autres responsables politiques à l’époque avaient réagi très différemment comme le Préfet de La Loire de l’époque Paul Camous  qui s’était écrié en réunion, brandissant mon livre “Ne l’achetez pas, je vous prête le mien !  “.

La dernière fois qu’il est venu à la Charpinière, peu avant sa mort, il avait plus de 90 ans, il était très diminué physiquement, mais un témoin m’a rapporté que lorsqu’ il a vu mon épouse, son regard s’était éclairé, justifiant ainsi sa réputation pour son goût prononcé pour les femmes, surtout quand elles étaient jolies. En écrivant ces lignes, je pense à la maxime de Chamfort Le châtiment de ceux qui ont beaucoup aimé les femmes, c’est de les aimer toujours“.

François de Grossouvre

Je l’ai connu à l’époque de la SIATLI dont j’ai parlé dans l’article précédent. Médecin, époux de la fille des sucres Berger, il était un ami très proche de Mitterrand et alors que ce dernier était Président de la République,  il se serait suicidé à l’Elysée ; version contestée, je crois, par sa famille. Lors d’un déjeuner chez Léon, le célèbre bouchon lyonnais, avec Philippe Malaud et Michel Gillibert, il m’avait proposé que je le rémunère sous forme de salaire mensuel pour nous faire bénéficier de ses relations avec son mentor, mais Philippe Malaud s’était alors  écrié : “Ce n’est pas nécessaire, je connais bien  François Mitterrand et l’autre jour je suis rentré avec lui dans l’avion qui nous ramenait de Bucarest“.

 Michel Noir

Je l’ai connu alors que, jeune espoir du Parti gaulliste, il venait d’être élu Maire de Lyon. Il m’avait demandé de recruter son assistant qui puisse lui apporter ses compétences pour contrôler efficacement la gestion du directeur général des Hospices Civils de Lyon dont il  présidait le Conseil d’Administration.  Ma recherche était sur le point d’aboutir avec la candidature, « high caliber » comme disent les anglo-saxons,  d’un directeur d’hôpital privé, capable de « faire le poids » face à Renaud Dutreil, connu en France pour avoir, quand il était au Ministère de la Santé, créé la carte sanitaire. Mais au moment de signer mon contrat, je m’étais déplacé pour cela à l’Hôtel de Ville, Monsieur Noir se ravisait. Il avait préféré recruter directement le directeur de l’hôpital de l’Antiquaille faisant partie des HCL, donc collaborateur de Renaud Dutreil.

Une autre fois, il avait faux bon au Président de l’Infirmerie Protestante de Lyon, Raymond Morin accompagné de son directeur et de moi-même à l’occasion d’un rendez-vous que nous avions au Ministère de la Santé. Il avait oublié qu’il avait ce jour-là un tournoi d’échecs avec l’un de ses fils. Le hasard a voulu que je le retrouve un jour dans le TGV Paris Lyon. Il était assis et moi debout. Ainsi pour une fois je  le dominais physiquement, je dois préciser qu’il était beaucoup plus grand que moi et j’ai pu lui faire part de mes regrets que nous n’ayons pas travaillé ensemble – je me suis retrouvé un jour dans son petit bureau à l’Assemblée Nationale  qu’il partageait avec Alain Devaquet, aussi grand que lui, et en leur présence, je m’étais alors vraiment sentir très gêné physiquement - Cette situation où être debout dans un train alors que votre interlocuteur est assis, je l’ai vécue une autre fois dans le TGV entre Lyon et Saint-Etienne avec Michel Thiollière ancien sénateur maire de cette dernière que j’avais connu quand il était adjoint au Maire, mais je n’avais pas de reproche à lui faire.

  Jean Auroux

Connu comme Ministre du Travail de François Mitterrand et les lois qui portent son nom, je l’ai connu comme Maire de Roanne. Un jour, nous sommes allés tous les deux à la Caisse Nationale d’Assurance Maladie défendre le dossier de la Clinique Pierre Brossolette que j’avais aidée à se réaliser. J’en parle assez longuement dans mon livre « Une vie au service de l’hospitalisation privée »**. A l’issue de la réunion, je me suis aperçu qu’un homme politique avait peu de poids face à l’Administration pas plus qu’il n’en avait face aux banques.  Notre déplacement n’avait servi à rien. Cette réunion m’en a rappelé une autre, cette fois dans les salons de la Banque Paris-Bas à Paris  avec ses dirigeants qui nous   avaient invité à dîner, Philippe Malaud, alors directeur du Cabinet de Couve de Murville, ministre des Affaires Etrangères et moi-même pour parler de la SIATLI et de notre projet de drugstores, la banque étant déjà propriétaire de celui de la rue de Berry.  A la sortie de notre réunion en descendant les escaliers – le restaurant était au dernier étage à ciel ouvert d’un immeuble  rue de l’Opéra- Philippe Malaud m’avait dit : “ Vous verrez que nous aurons droit à une boîte de chocolats“. J’ai revu un jour Jean Auroux à  la fête du livre à Saint-Etienne où il m’a dédicacé le livre qu’il venait d’écrire.

Alain Jarrot

Ministre, compagnon de la Libération, maire de Montceau les Mines. J’avais fait sa connaissance lors de la construction du Centre Médico-chirurgical de Dracy-Le-Fort pour lequel il était intervenu auprès de sa collègue Simone Veil ministre de la Santé pour obtenir l’autorisation de création de lits contestée alors par les autorités locales. Un jour que nous voyageons ensemble dans le TGV en montant à Paris, il m’avait avoué non sans une certaine fierté qu’aux Conseils des Ministres auxquels il participait , il était le seul à porter une arme si quelqu’un était venu pour les prendre en otages, il s’en serait servi.

  Daniel Mandon

Il l’a été surtout connu dans son département, la Loire. Universitaire, sociologue, Maire de Saint-Genest-Malifaux,   conseiller général et député. Nous partagions les mêmes idées bien qu’appartenant à des milieux professionnels très éloignés. Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois, notamment au sujet de mon essai « Mérites-tu vraiment ton salaire ? » qu’il avait bien volontiers préfacé. Il n’était pas avare d’anecdotes sur la vie au Palais Bourbon chaque fois que nous nous rencontrions.

*Mon premier livre édité à compte d’auteur en 1973

**Aux éditions Ifrhos. editionsifrhos@orange.fr

 

mardi 4 novembre 2025

Les enfants trop ou mal aimés

 

J’avais déjà stigmatisé les couples  qui ne veulent pas d’enfants dans mon Blog  du 23 juin 2014 « Quand les petits chiens remplacent les enfants »* dans lequel je citais les paroles du pape François fustigeant le bien être économique :“ C’est sûr, tu peux visiter le monde, partir en vacances, avoir une maison à la campagne, être tranquille et c’est sans doute mieux, plus commode d’avoir un petit chien, deux chats » ainsi que dans celui du 17 mars 2018 « Vous ne voulez pas d’immigrés, faites donc des enfants »**.

N'avoir seulement qu’un enfant ou pire pas d’enfant du tout, c'est tout notre modèle social qui s'effondre car pour la 1ère fois depuis 1945, les décès viennent de dépasser les naissances en France.

Il y a même une accélération de la tendance depuis quelques années car l’Insee ne prévoyait ce retournement que pour 2035, donc nous sommes, hélas en avance sur le calendrier.

La France qui a longtemps fait figure d'exception dans l'Union Européenne, avec son indice de fécondité par femme supérieur, c'est fini ! Ces meilleures performances s’expliquaient en grande partie par le fait que, chez nos épouses, travailler et avoir des enfants n’étaient pas incompatibles, contrairement à leurs consoeurs  italiennes ou espagnoles.

Recul de la population active et du nombre de cotisants

"La dénatalité quand elle dure, c'est moins de bras et moins de cerveaux pour faire tourner l'économie", résume l’économiste Maxime Sbaihi. Moins d'enfants, c'est bien sûr moins d'enfants par classes et donc des écoles menacées. "On va manquer de travailleurs avant même de manquer de travail".

Ce qui signifie que moins d'actifs qui cotisent c'est donc moins de fonds perçus pour davantage de pensionnés qui vivent plus longtemps. Une équation impossible à résoudre avec les paramètres actuels.

"C'est tout notre modèle social qui s'effondre, anticipe Maxime Sbaihi. A l'après-guerre, on avait tout misé sur la démographie et notre système par répartition prenait la forme d'une pyramide. Aujourd'hui cette pyramide rétrécit en sa base à cause de la dénatalité et ne cesse de s'élargir par le haut. La solidarité intergénérationnelle pèse de plus en plus lourd.

La France se caractérise par un faible taux d'activité aux deux extrémités du spectre, pour les plus jeunes et les seniors. Il faut jouer sur les principaux paramètres qui sont l'âge d'entrée et l'âge de départ."

Une réponse facile est l'immigration comme l’assume actuellement l’Espagne, même si elle peut s'apparenter à priver des pays en développement de bras et de cerveaux et présente des risques non négligeables pour la cohésion du pays.  

Maxime Sbaihi qui a écrit « Les berceaux vides » résume: "Trois solutions. Bébé, immigration ou robots. Le Japon a choisi cette dernière voie et il faut voir dans quel état est leur économie."

Les robots sont tout de même peut-être aujourd’hui la seule solution, avec l’Intelligence Artificielle et ses algorithmes qui les crée et les anime et remplacera de nombreuses tâches qui ne nécessiteront donc plus de main d’œuvre.  Elle devra toutefois financer les pensions des retraités de plus en plus âgés, à moins que ceux-ci aient choisi le système de la capitalisation, sachant, il est vrai, que celui existant par répartition est condamné à disparaître à terme à cause du déséquilibre croissant entre actifs et retraités.

Il faut parler non seulement de l’économie et de ses futurs bouleversements, mais aussi de l’enfant unique qui n’a pas la chance de pouvoir partager avec des frères et des sœurs, qui est souvent trop choyé par ses parents, surprotégé, à qui on demande parfois beaucoup trop, à qui on ne refuse rien, à qui on n’ose pas dire non et que l’on ne prépare pas suffisamment à affronter les obstacles inévitables qui se présenteront à lui. Par ailleurs, l’enfant unique doit assurer, plus tard, seul, la responsabilité de prendre soin de ses parents lorsqu’ils sont âgés, soutien financier et/ou émotionnel.

Peut-être qu’avant de se marier, dans une sorte de contrat moral non écrit, celui ou celle qui est convaincu que fonder une famille, c’est avoir plusieurs enfants qui s’y épanouissent, sous certaines conditions, bien entendu, devrait obtenir l’accord de son ou de sa partenaire.

Cependant, certains parents ont des raisons légitimes pour ne pas avoir d’enfants ou n’en avoir qu’un seul, comme la santé de la maman  ou leur situation précaire, ou à la limite compréhensibles comme la  peur de notre avenir collectif,  il est vrai que les nuages semblent actuellement s’accumuler, et donc de celui d’un futur enfant.

*Chroniques d’une décennie, pages 85 à 86

 **Chroniques d'une décennie, page 330 à 332